Retardé, fragilisé par des problèmes budgétaires, et en dépit d’appels au boycott d’associations pro-palestiniennes, la Ville sainte engluée dans les embouteillages a enfin son tramway. Signé Alstom, ce n’est toutefois pas Veolia Transport qui l’exploite.
Le tramway de la discorde est finalement sur les rails à Jérusalem
Publiée le 22 août 2011